Les mafias italiennes
Les organisations criminelles considérées comme des mafias stricto sensu par les criminologues sont, outre les mafias italiennes, les Triades chinoises, les Boryokudan japonais (dont les membres sont appelés « Yakuza »), la mafia italo-américaine, la «Mafija» Serbe, la « Mafiya » russe, la « Mafya » turque et la mafia albano-kosovare. D’autres groupes criminels tels que les cartels colombiens, les clans nigérians, les posses jamaïcains, la pègre du sud de la France, les trafiquants de drogue marocains, etc. ne peuvent pas être qualifiés de « mafias » au sens strict, dans la mesure où leurs caractéristiques ne correspondent pas aux critères de définition d’une mafia (stade symbiotique d’intégration dans la société, espérance de vie des institutions supérieure à celle des individus en place).
Histoire de la Cosa Nostra sicilienne[modifier]
Terminologie[modifier]
l'omertà : c'est la loi du silence imposée par la mafia (« Je ne vois pas, je n'entends pas, je ne parle pas »). Les non mafieux ont peur des représailles qui attendent celui qui parlerait. Cette loi implique que la personne trahie doit tuer le coupable. il pentito : c'est littéralement un "repenti", c'est-à-dire un ex-mafieux qui accepte de rompre l'omertà et de collaborer avec la Justice en donnant des informations aux