Les plantes et leurs adaptation.
→ Comment les plantes s’adaptent-elles à des climats secs ou au désert ?
Introduction :
Les plantes fixées doivent s’adapter au milieu dans lequel elles se trouvent. En effet, celles-ci grâce à un système racinaire plus ou moins important, puisent l’eau et les minéraux du sol. Cependant, certaines plantes sont confrontées à des milieux hostiles ou le sol peut être plus ou moins humide selon sa nature (sable, argile ect. ) et selon les précipitations liées aux climats qui peut varier de façon significative d’un lieu à l’autre de la Terre. Ainsi l’équilibre hybride du sol est un élément essentiel à l’adaptation de la plante dans son milieu. Par ailleurs, la température extérieur et une atmosphère plus ou moins sèche participent largement à la transpiration de la plante et donc à sa perte d’eau.
→Ainsi nous pouvons nous demander, comment les plantes s’adaptent-elles à la sécheresse ?
I. La plante et son milieu.
L’absorption de l’eau par la plante dépend du potentiel hybrique du milieu dans lequel elle se trouve.Dans une région humide de climat tempéré, la concentration de l'eau du sol est très faible et le potentiel hydrique du sol est proche de zéro (potentiel de l'eau). Le potentiel de l'atmosphère, même par une journée humide, est très négatif. L'eau passe d'un territoire à l'autre dans le sens des potentiels décroissants. Elle passe donc de manière purement physique du sol vers l'atmosphère et provoque donc un flux hydrique continuel dans la plante. C'est ce que l'on appelle le Continuum Sol/Plante/Atmosphère (CSPA).
La plante et son environnement hydrique. L'eau absorbée dans le sol par les racines est conduite dans toutes les parties de la plante. Une partie est éliminée dans l'atmosphère par la transpiration. A droite, sont notées les valeurs du potentiel hydrique en Méga-Pascal (MPa) des différents partenaires. A. Une déséquilibration du flux hydrique.
La plante cependant peut voir son flux hybride déséquilibré. En effet, nous