1. L’application de la méthode d’évaluation des stocks au coût de remplacement me permettrait d’augmenter le bénéfice de cette année qui est en régression par rapport à celui de l’an dernier. Nous pourrions revenir à notre méthode traditionnelle d’évaluation des stocks l’an prochain.
- l’évaluation des coûts de remplacement pour permettre d’augmenter le bénéfice ne sera pas possible car cela ne respecte pas le Principe de Permanence des méthodes

2. En raison d’un litige sur une livraison non conforme à un client, celui-ci demande une réduction de 40% sur le montant de la facture de 5000 €. Suite à une conversation téléphonique, nous lui accordons cette réduction mais la facture d’avoir ne sera établie que l’an prochain afin de ne pas grever le résultat de cette année.
- Suite à un litige avec un client il faudra alors enregistrer le montant de la facture puis ensuite lors de l’exercice suivant lui accordé cette réduction pour respecter le Principe de Séparation des exercices

3. Un terrain a été acquis il y a quinze ans pour 8000€. En réalité, en se référant au prix du mètre carré dans le secteur, il pourrait être cédé pour 15000€. Est-il possible d’inscrire cette valeur au bilan de l’entreprise?
- Il ne sera pas possible d’inscrire au bilan cette valeur car cela ne respecte pas le Principe de prudence et le Principe des coûts historiques

4. Une camionnette a été acquise pour 20 000€. Lors de cet achat, le concessionnaire a repris un ancien véhicule pour la somme de 3 000€. Le nouveau véhicule peut-il être inscrit au bilan pour la somme de 17 000€, prix effectivement payée?
- Le nouveau véhicule ne pourra pas être inscrit pour la somme de 17000€ car il ne respecte pas le principe de non compensation

5. Un prêt de 1000€ à été accordé à un salarié, sans intérêts, à échéance de trois ans. Peut -on appliquer à cette somme un taux d’actualisation de 3%, afin de tenir compte des effets de l’inflation? Lors du remboursement, ces 1 000€ n’auront plus,