liberalisation
Ses compétences et sa responsabilité sont sollicitées dans le cadre de nombreux projets d’entreprises, qui vont au-delà des cloisonnements fonctionnels traditionnels et dépassent ses prérogatives métiers habituelles. En effet, au-delà de ses missions historiques de finance et de gestion, le DAF doit désormais alimenter les réflexions stratégiques de la direction générale, comprendre et accompagner les directions opérationnelles, être force de proposition sur les business models... En définitive, il doit sortir de la technique et dépasser son rôle d’arbitre pour innover dans toutes les dimensions de sa fonction. Résolument orienté vers le pilotage de la performance, son nouveau rôle le conduit à participer à tout projet d’entreprise ayant un impact financier, afin de se concentrer sur les chaînes de valeur dans leur intégralité et d’en optimiser l’efficacité. Investi dans ces nouvelles missions, le DAF collabore de plus en plus étroitement avec les différentes directions opérationnelles ou fonctionnelles de l’entreprise, en France comme à l’international. A ce titre, il est devenu un communiquant inter-département et multi pays. Pour remplir pleinement ses nouveaux défis, le DAF a besoin d’être en veille d’information permanente, d’accéder rapidement à ses données pour prendre des décisions pertinentes et piloter son activité d’où qu’il soit.
2.
Située au cœur de la gestion des ressources humaines, la stratégie de rémunération est un levier majeur de management de la performance.
De même que la stratégie d'une entreprise évolue au cours de sa vie, son