Limite de l'objectivité scientifique
Il y a un air de famille entre le sujet précedent et celui-ci. C'est un faux air de famille. En effet, il y a des pacerelles ou des liens entre les deux sujets. Dans le premier sujet, la réflexion porte sur la science en générale alors que le deuxième sujet porte sur un processus caractériqtique de la science moderne, l'objectivation. Premier « réflexe » établir le lien entre objectivité et la notion d'objet et ne pas oublier que l'objet s'inscrit dans une relation particulière qui est celle du sujet et de l'objet en d'autres termes, analyser la notion d'objectivité requiert dans un premier temps d'examiner le statut du sujet dans le processus d'objectivation. Il est évident qu'on sera amené à s'interroger sur les limites de la science. Mais il s'agit principalement de voir de quelles manières la subjectivité empirique ou partiale est capable de s'effacer ou de se détacher au profit de l'objet à étudier. Qu'est-ce que l'objectivité. C'est le processus cognitif par lequel l'objet est décrit pour lui-même indépendament du système d'ancrage ou du lieu d'observation de l'observateur celui-ci est neutre et impartial. Dans cette logique, le savant incarne une subjectivité impersonnelle. Il s'agit alors de déterminer le statut de la subjectivité scientifique et de voir à quelle condition le sujet de la science est capable de décrire l'objet de manière impartiale dans l'optique d'une vérité correspondance. Chacun s'accorde à penser désormais que les notions de scientificité et d'objectivité doivent être analysé en terme d'idéal. L'idéal est ce qui n'est jamais totalement effectif, ou qu'on doit essayer d'approcher. Idéal de scienctificité: neutralité du langage mathématique, et des raisonnement hypothético déductif neutralité des observations, … Idéal d'objectivité: idéal de surplomb ou de position de survol que le savant devrait adopter. Il y aurait un topos noetos de la science. De même que le sage de l'Antiquité s'efface en tant