Littérature de jeunesse
CM1 : 9/11/12
De jeunesse = dis-qualificatif de littérature, le lectorat est déconsidéré => lecture destinée l'est aussi
La petite lecture était incapable d'apprécier la beauté littéraire.
Littérature illégitime car industrielle souvent sans nom d'auteur (Walt Disney, Nathan...).
Littérature moyenne inférieure Oui-Oui, Alice, Martine, même modèle à l'infini.
Littérature produite par de grands éditeurs (Gallimard …).
Des éditeurs se spécialisent dans littérature de recherche. Les classiques ont forte rentabilité économique, reconnaissance symbolique maximale, certains albums contemporains ont acquis cette reconnaissance et sont devenus des classiques (Max et les Maxi monstres).
Littérature dont le lecteur est l'enfant ou l'adolescent, exclut à priori les adultes, elle vise toujours un double lectorat (double adresse), intérêt commun pour les formes simples, contraintes formelles => naissance récente d'album qui sont des livres d'enfants pour-grandes-personnes. Particularités | Structure de l’histoire et moments clés | Obstacles que peuvent rencontrer les élèves | Référence à des personnages stéréotypés : sorcière, roi, prince, princesse, grenouille, tom pouce
Anachronismes : téléphone, langage utilisé
Référence à la psychanalyse
Référence aux contes traditionnels
Décalage entre les attendus en référence aux contes traditionnels et la fin de l’histoire | Situation initiale : un têtard qui rêve de devenir un prince charmant
Elément déclencheur : la visite à la sorcière
Elément perturbateur : la rage du roi
Résolution : le baiser de Sigismonde
Situation finale : ils vécurent heureux…
Moments clés :
- la formule incomplète. On peut penser que c’est pour ça qu’il n’a pas grandi
- La fin qui n’est pas celle attendue | Vocabulaire lié à la sorcellerie, au moyen-âge
Le registre de langue
Connaissance préalable des personnages et de leur histoire dans les contes traditionnels (la grenouille qui se transforme)
La