La pièce Le roi se meurt est, d’après moi, est une comédie tragique car à la fin toute la vie du roi Bérenger Ier s’écroule et il meurt. Nous, les élèves de la cinquième secondaire, nous sommes déplacés le 6 février au théâtre TNM qui était excellent parce qu’il nous accueillissait tous. Le spectacle s’adresse à un auditoire jeune adulte car les mots et les phrases prononcés étaient parfois difficile à comprendre, parfois les acteurs s’adressaient à un autre comédien, mais il regardait le publique et un enfant ne comprendrait pas tous les parallèles que Eugène Ionesco fait avec la vie d’un humain. Au lever du rideau, le Garde annonce la Cour, le roi Bérenger Ier entre dans la salle du trône suivi des deux reines, Marguerite, sa première femme qui représente la mort et Marie, sa deuxième femme qui représente la vie, de Juliette, la femme de ménage. Le chauffage ne fonctionne pas, il ne répond plus aux ordres, et le toit du palais se fissurent. La reine Marie se fait grondé par la reine Marguerite, parce que c’est à cause d’elle que le roi ne c’était pas préparé. Marguerite va donc vouloir dire au Roi que la fin de son règne s’approche, mais Marie ne veut pas y croire et ne veux pas lui dire. La mort gagne toujours à la fin, car Marguerite annonce au roi sa mort et le médecin vient confirmer la mort de sa majesté. Le roi rentre dans la salle se plaignant de sa santé. Lorsqu’on lui annonce sa mort, il refuse de le croire et dit qu’il décidera quand il mourra. Toute la cour insiste en décrivant sa santé qu’il va mourir sauf bien sûr la reine Marie. Dès lors, son comportement va être une suite de revirements. Durant la pièce, le roi d’autre choix que de constaté la gravité de la chose : il ne peut plus se relever, tout disparait peu à peu et vers la fin il ne voit plus. Comme l’indique le titre, il meurt. Pour moi, il n’y avait que deux défauts et c’était les costumes et les décors. Pour un château et un roi, ils n’étaient pas assez