Si l’on devait associer Louis Aragon à une catégorie de poète du 19e siècle, nous ne pourrions tout simplement pas le placer dans une catégorie quelconque. Il a créé une abondance de poèmes à caractères très variés. Mais deux sujets qu’il a souvent abordés sont son amour pour Elsa Triolet et le militantisme. Si l’on y réfléchit bien, nous pouvons comprendre que ces deux sujets sont en quelque sorte un paradoxe, puisqu’au même moment, il arrivait à écrire avec haine et désespoir sur la guerre et écrire sur son amour passionné pour Elsa, laquelle il décrivait comme la plus belle femme au monde.

Le militantisme qu’évoque Louis Aragon est présenté habituellement de deux manières, le désespoir ainsi que la colère. Aragon a détesté la guerre et s’est servi de la poésie pour exprimer cette rage qui bouillonnait en lui matin. Pour le poème «J’écris dans un pays dévasté par la peste», il utilise le pseudonyme François la Colère, un cryptonyme relativement représentatif de son mécontentement. Puis d’un autre côté, ses poèmes de guerre dévoilaient la peine que ses souvenirs frais lui éprouvaient. Dans ce même poème, Aragon cite les évenements troublants des camps de concentration où des familles complètes y trouvaient la mort. Il présente ses évenements de façon à faire ressentir le deuil à des gens totallement étrangé à ses familles.

En 1929, une dame nommé Elsa Triolet va à la rencontre de Louis Aragon dans le but de le séduire, ce qui fut un succès. À partir de ce moment, Elsa devint la muse de Aragon pour le restant de sa vie. Il lui démontrait son amour dans les poèmes de deux manières distinctives, il aimait décrire la beauté de sa muse ainsi que seremémorerles beaux moments qu’ils passaient ensemble. Dans l’œuvre «Cantique à Elsa», Aragon se remémore les treize années qu’ils ont passées ensemble et à quel point ses années étaient si merveilleuses qu’elles étaient encore trop courtes et qu’il souhaitait faire perdurer cet amour. Dans le même ordre d’idées, «Les