Gustave Flaubert est un écrivain du XIX, a marqué la littérature par la profondeur de ses analyses psychologiques, son réalisme, et son regard lucide sur les comportements du genre humain, mais aussi par la force de son style dans de grand roman comme Madame Bovary (1857), ou même encore l’éducation sentimentale (1869). Le passage que nous allons étudiés est un extrait de l’acte II, scène 12 de Madame Bovary. Ce passage raconte les rêveries d’Emma Bovary et de son espoir que son amant, Rodolphe, riche propriétaire, l’emmène pour une meilleure vie. Nous allons voir dans un premier temps en quoi ce texte est romantique, puis nous verrons en quoi ce texte est un espoir d’avenir et pour finir comment Flaubert ridiculise ce rêve et dénonce t-il le bovarysme.

En effet ce texte est une satire du rêve romanesque parce que des la première ligne, « elle se réveillait en d’autre rêves » montre qu’Emma part dans des rêveries. La surcharge de détails donnés par Flaubert : « Au galop de quatre chevaux, elle était emportée depuis huit jours vers un pays nouveau » ; « des dômes, des ponts, des navires, des forêts de citronniers et des cathédrales de marbre blanc dont les cochets aigus portaient des nids de cigogne. » rend ce passage romantique avec les paysages mais aussi qu’il est le temps de tous détailler. Il fait des énumérations : « on entendait sonner les clochers […] le bruit des fontaines » montre aussi le romantisme parce qu’il installe son lecteur à rêver avec lui et installe un cadre qui lui aussi est romantique : « les gondoles » font pensées à Venise, la ville des amoureux ; « vêtements de soie » montre la richesse de se rêve. Flaubert utilise l’imparfait : « Reviendraient » « apercevaient » pour donner à se rêve un effet d’habitude. « Statues pâles », « pyramide », c’est termes font pensés que Emma se trouve au paradis ou un endroit qui s’apparente. Outre le fais que ce texte sois romantique, Flaubert réalise un espoir d’avenir pour Emma Bovary qui se