Mariage figaro
Français
Honoré de Balzac, né Honoré Balzac1,2,3 à Tours le 20 mai 17994 et mort à Paris le 18 août 1850, est un écrivain français. Il fut romancier, dramaturge, critique littéraire, critique d'art, essayiste, journaliste, imprimeur, et a laissé l'une des plus imposantes œuvres romanesques de la littérature française, avec 91 romans et nouvelles parus de 1829 à 1852, auxquels il faut ajouter une cinquantaine d'œuvres non achevées, le tout constituant un ensemble réuni sous le titre de Comédie humaine.
LA DUCHESSE DE LANGEAIS
Dédiée à Franz Liszt met en scène le Général de Montriveau et la duchesse de Langeais.
La puissance des treize permet à Armand de Montriveau de poursuivre celle qui se refuse à lui jusque dans le monastère Espagnol où elle se cache.
Mais il n’enlèvera qu’un cadavre.
Cette œuvre, la plus riche et la plus complète de la trilogie, éclaire la politique de Balzac et constitue un admirable portrait de femme coquette.
Derrière la Duchesse de Langeais se dessine en filigrane la Marquise de Castries, que Balzac aima qui ne l’aima pas et le fit beaucoup souffrir.
Portrait tout chargé de rancune et de violence, que le modèle, il faut en croire Marcel Bouteron, qui a fait un historique exact de cette liaison manquée, ne justifiait pas tout à fait.
Ces trois romans (Ferragus, la Duchesse de Langeais, la fille aux yeux d’or) parfaitement fantastiques, irréels sont pourtant des créations irréfutables d’un romancier génial de la réalité.
Il n’y a pas de contradiction chez Balzac parce qu’il y a chez lui la présence constante du génie, qui assimile et dépasse toute contradiction.
Au cœur de l’intrigue la plus inutilement (en apparence) compliquée éclate soudain des analyses de visionnaire qui créent le monde qu’elles décrivent, au fur et à mesure.
Le phénomène de la création authentiquement Balzacienne, la géniale déformation explicatrice d’un monde est dans l’Histoire des Treize parfaitement mise en lumière.
Il n’y