Marwane
Question : En vous inspirant du texte de Maupassant (Texte C), imaginez le récit que Georges Duroy, rassuré par l'issue du duel, pourrait faire de cet épisode à l'une de ses conquêtes amoureuses.
Assis aux côtés de l'une de ses conquêtes amoureuses qui ayant ouie dire qu'il avait prit part à un duel l'incitait à en parler. Réputé pour ses talents de séduction, il prit plaisir à lui narrer sa propre version des faits. « Ma chère demoiselle, je puis vous dire pour débuter mon récit que certes effrayé au début, à la seule vision de mon adversaire dont l'apparence est grottesque, petit homme, ventru, je fus si je puis me permettre rassuré... » Passionée, hypnotisée par le séducteur, la jeune femme l'invitait à poursuivre du regard .
« Je sentais le métal froid de l'arme symbole de mort entre mes mains, et n'avais qu'une seule envie en finir et venir vous retrouver... » Charmée par ses mensonges la jeune femme le dévorait du regard .
« Mais je dois vous dire que je fus trahi » Soucieuse et désireuse d'entendre la suite elle murmura :
« Trahi ? Qui donc aurait l'audace de vous trahir ? » Elle lui serra la main ce qui eut pour effet de relancer le séducteur de plus belle.
« Hélas mon cœur me trahit,mes sentiments prirent le dessus,et ce petit homme ventru,bien que culotté d'échanger ses communiqués insultants me fit prendre de compassion,ses tremblements, la sueur qui luisait sur son front,cette angoisse qui se lisait dans ses yeux me désarma .Le tuer aurait été inhumain,indigne de ma personne. » En jouant la carte de la compassion, de la pitié Georges Duroy avait définitivement séduit la femme.Aux yeux de cette dernières des larmes scintillaient à la lueur des bougies.les paroles du gentlemen lui faisaient fondre le cœur.
« Mais, je ne pouvais mettre fin au duel, cela serait apparu comme étant un signe de faiblesse. » L'image qu'il dégagait de