Maurice G
Maurice G. DANTEC
Les racines du mal
Gallimard
© Édition Gallimard, 1995
Dès son premier roman, La Sirène rouge,
Maurice Dantec s'est affirmé comme un maître dans l'art de combiner la science-fiction et le polar. Avec son second roman, Les racines du mal, il récidive.
Le lien entre la littérature noire et la métaphysique réside dans le fait que l'expérience humaine jugée primordiale par l'une et l'autre est la place de la mort dans la vie.
ROBIN COOK
Le Diable est froid.
HEINRICH HEINE
REMERCIEMENTS
BIBLIOGRAPHIQUES
ET DIVERS
— Les «Cartea neagra» : Jean-Paul de Longchamp, pour La garde de fer, éditions SEFA, 1975.
— Isaïe Tishby, pour «La Kabbale», in Encyclopédie de la mystique juive, éditions BERG International.
— Benjamin Gross, pour «Messianisme et eschatologie», idem. — Colin Wilson, pour Être assassin, éditions Alain Moreau
1977 (Oder o f assassins, the psychology o f murder,
Rupert Hait-Davis, Londres 1972).
— Timothy Leary, pour Mémoires acides, éditions Robert
Laffont, 1984 (Flashhacks, J. P. Tarcher Inc, Los Angeles,
1983).
— Stéphane Bourgoin, pour Sériai killers, éditions Grasset
1993.
— Ann Rule, pour U n tueur si proche, biographie de Ted
Bundy, éditions J'ai Lu, 1993 (The slranger beside me,
New American Library, New York 1980).
— Raoul Vaneigem, pour son Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations, Folio/Actuel, éditions Gallimard,
1992.
— Wilhelm Reich pour La psychologie de masse du fascisme et La révolution sexuelle, Petite Bibliothèque Payot 1977, et Union Générale d'Éditions 10/18, 1970.
— Fausto Antonini, pour L'homme furieux, l'agressivité collective, éditions Hachette 1970.
— Daniel Keyes, pour Billy Milligan, l'homme aux 24 personnalités, étude romancée du cas de personnalité multiple Billy Milligan (The minas of Billy Milligan,
Random House, New York, 1981).
— Yves Coppens, pour Le singe, l'Afrique et l'homme, éditions Fayard, 1983.
— Marceau Felden, pour Le songe de Minerve, le cerveau et
les