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Carlo Menon
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Travail de Fin d’Etudes
ISACF La Cambre
Bruxelles
A.A. 2005/06
Le kitsch:
un manuel
Promoteur: Raymond Balau
Présentation
Dès les premières réunions pour définir l’objet et l’étendue de
!, nous nous sommes confrontés au problème de la i définition de ce mot fascinant et mystérieux, aux multiples facettes.
Parfois nous nous sommes presque disputés, considéanti
!
i rant nos différentes attitudes face au kitsch – mais nous sommes ainsi faits: de anti ! i différentes sensibilités, cultures, préoccupations. Et pour l’instant nous ne sommes que trois!
anti
K tsch
K tsch
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Nous nous sommes donc trouvés d’accord sur la décision de commissionner à un chercheur une étude aussi large que précise autour de la notion de kitsch. Quelque chose à assumer comme base pour nos discussions et qui épanouisse notre compétence en la matière.
Vu l’enthousiasme avec lequel nous avons reçu cette étude, nous avons le plaisir de vous l’offrir en éditant ce livret, certains qu’elle satisfasse votre curiosité et qu’elle vous incite à collaborer avec nous pour la rédaction de la revue.
La rédaction
K tsch
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«Ce qui m’a poussé à participer à
! est avant tout i un mépris, parfois viscéral, provoqué par certaines choses qui se parent devant nous et agressent nos sens, sans qu’on puisse anti ! i y échapper: publicités, jingles, modes, magasines, magasins, marchandises, packagings, bâtiments, anti chaînes d’hôtels, com! i paysages... portements, atriums, abris de bus, lieux,
Bien pire que des nains de jardin inoffensifs!
K tsch
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Ce mépris s’est manifesté depuis mes 13 ans, lors de l’apparition dans les charts du boy band anglais Take That.
Non seulement leurs chansons répugnantes envahirent l’éther: leurs photos étaient imprimées sur les t-shirts de (presque) toutes les filles de ma classe, leurs exploits