Monnaie et travail
Néoclassique : 3 fct de la mo : unité de compte ; instrument d’échange ; réserve de valeur. La mo est neutre : voile dichotomie entre sphère réelle et mo : elle n’intervient pas dans l’activité éco. L’inflation est un phénomène monétaire : thèse quantitative de la monnaie.
Keynésien : 3 motifs de la demande de mo : transaction (comme néo) ; précaution (école de Cambridge) ; spéculation (Keynes). Dépendance entre sphère réelle et mo à travers le taux d’i : prix de renonciation à la liquidité : prime de liquidité. Offre de monnaie exogène déterminée par la BC. La D de mo est fonction du taux d’i. M= L1(Y) : transaction et précaution +L2(Y) : spéculation.
Travail :
Néoclassique : le marché du L existe, tjrs en CPP, obéit à la loi de l’O et de la D. La confrontation entre O et D aboutit au salaire d’équilibre, niveau d’N d’équilibre. Si le salaire augmente les ménages préfèrent travailler plus pour gagner plus (consacre plus de tps au L qu’aux loisirs) = effet de substitution / le salaire augmente il va préférer consacrer plus de tps au loisir qu’au L = effet de revenu. Les ménages maximisent leur satisfaction en faisant un arbitrage entre L et loisirs.
La désutilité du L (pénibilité du L) se mesure par le salaire réel (versé par l’employeur au salarié). Le salaire réel est fonction croissante de l’O de L (plus le salaire augmente plus la qté de L offerte augmente). L’objectif des entreprises est la max du profit sous contrainte (réaliser une P° optimale ac le min de cout). Le volume optimal d’N pour l’entreprise est celui qui serait nécessaire à la P° d’une qté de B optimale. Comme la productivité marginale est décroissante chaque salarié embauché sera moins efficace que le précèdent en termes de valeur ajoutée ; l’entreprise arrêtera d’embaucher lorsque la valeur ajoutée apportée par le dernier salarié sera égal à son salaire. L’entreprise n’aura plus intérêt à embaucher car l’N d’un salarié supplémentaire va lui couter plus que ce qu’il lui apporte