Normal et pathologique et la relation soignant soigné
Deux tendances contradictoires, l'une qui fait disparaitre toute frontière a la pathologie. Les processus qui conduisent a des états morbides ne sont pas de nature diffèrent de ceux sui animent les individus que l'on dit normaux. Les normaux pourraient aussi bénéficier de thérapeutiques conçue pour les malades. La deuxième tendance va réagir contre le danger d'extension démesurée du champs de la psychiatrie.
Comment le ministère de la santé met il en place une politique de santé ?
Difficile de pouvoir décider qui va mal. La fonction du soin a l'enfant est base sur des éléments extérieurs,
Mais il faut tenir compte d'éléments extérieurs inhérents a la politique de santé. On ne doit pas faire dévier nos concepts théoriques et pratiques, ils ne doivent pas être fonction de la politique de santé, pourtant nous avons a rendre des compte aux personnes qui nous emploie.
Détecter une maladie a son tout début est un acte prophylactique indissociable de l'acte thérapeutique qui s'en suit. Traiter un état dangereux pré morbide n'est un acte classable qu'en fonction de la théorie qui le sous tend.
La relation soignant soigné
Balint le médecin son malade et la maladie. Il est mort en 1971
Les soignants venaient lui parler des relations avec les patients, il a propose un mode de travail en groupe.
Il proposait un travail d'une heure et quart par travail clinique toutes les semaines toute l'année. Un groupe de 8 médecins se réunissaient pour que l'un d'entre eux raconte une histoire dans laquelle il est concerné comme professionnel. Son livre concerne le travail qu'il a fait. Il dit que cela permet un changement limité mais considérable de la personne du médecin.
C'est un groupe qu'on appelle un groupe Balint.
Les médecins ont remarque qu'ils travaillaient mieux. Qu'ils étaient mieux dans leur peau, et étaient moins dérangés. Dans ce groupe on ne parle pas de soi, on évoque une situations professionnelle. Groupe non