Ntgm

1312 mots 6 pages
Comédie
Page d'aide sur l'homonymie Ne doit pas être confondu avec Comédie+.

Cet article est incomplet dans son développement ou dans l’expression des concepts et des idées.
Son contenu est donc à considérer avec précaution. Améliorez l’article ou discutez-en.

Cet article ou cette section doit être recyclé.
Une réorganisation et une clarification du contenu sont nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion.
La comédie (du grec κωμωδία) est un genre littéraire, théâtral, cinématographique et télévisuel fonctionnant sur le registre de l'humour. Elle met généralement en scène des personnages de bas niveaux, contrairement à la tragédie.
Malgré les apparences, la comédie n'est pas systématiquement axé sur le registre comique (divertissement, légèreté, rire etc.), même si la plupart des comédies le sont. La comédie larmoyante, par exemple, n'a rien d'humoristique mais fonctionne comme une comédie, notamment à travers la caractéristique classique de la fin heureuse. Au xixe siècle apparaît, notamment avec Alfred de Musset (On ne badine pas avec l'amour, Les Caprices de Marianne), la comédie dramatique, genre hybride dans lequel la tonalité légère et humoristique, dominante dans la comédie antique et classique, est gommée par une fin malheureuse et une morale solennelle inhérente au drame romantique.
De nos jours, le terme est brouillé car des œuvres contemporaines étiquetées comme « comédies » peuvent tout à fait être humoristiques et posséder une fin malheureuse.
Le vice du personnage principal va à l'encontre de l'histoire d'amour habituelle à la comédie.
D'autre part, au-delà de l'amusement et du divertissement que procurent beaucoup de comédies, une œuvre d'un tel genre peut aussi avoir un aspect critique.
La comédie trouve son origine dans la littérature grecque. Le mot κωμῳδία / kômôidía est formé de κῶμος / kỗmos (« fête en l’honneur de Dionysos »), et ᾠδή / ôidế (« chant »). Jacques Grévin, dans son Brief discours (1561), en

en relation

  • gjhk
    303 mots | 2 pages
  • Ntjtk
    550 mots | 3 pages
  • yhgfd
    965 mots | 4 pages
  • Nhghf
    560 mots | 3 pages
  • gfhkj
    657 mots | 3 pages
  • nbjh
    3181 mots | 13 pages
  • gtff
    1193 mots | 5 pages
  • Dghgvhg
    23177 mots | 93 pages
  • Sgbm
    6917 mots | 28 pages
  • Ytftgfg
    724 mots | 3 pages
  • moliere
    1101 mots | 5 pages
  • njm,n l
    497 mots | 2 pages
  • vhjgmcgh
    262 mots | 2 pages
  • ttggf
    743 mots | 3 pages
  • Nthg
    1704 mots | 7 pages