1. Le marché des télécoms déjà très compétitif en Europe, peu de possibilités de croissance. http://fr.finance.yahoo.com/actualites/france-telecom-flou-n%C3%A9gatif-104000478.html 2. Peu de possibilités de croissance pour Bouygues avec ses autres filiales (Construction, immobilier, TF1, Alstom) en raison du ralentissement économique en France et des investissements privés et gouvernementaux qui se feront plus rares). http://lexpansion.lexpress.fr/economie/l-investissement-tournera-au-ralenti-en-france-en-2012_290179.html 3. Ralentissement de la valeur des rendements dans le secteur des télécoms, les résultats seront plombés par les coûts de modernisation des réseaux à venir, les coûts de la dette,
"Le secteur se prépare à un lent déclin au fil du temps, il est donc difficile de le considérer comme un refuge", résume Bruno Grandsard, gérant chez Axa Investment Management.
Sur les douze derniers mois, alors que les télécoms ont perdu 10,3% en Bourse, la santé progressait de 13,2% et l'alimentation de 7,2%.
Source : http://lexpansion.lexpress.fr/economie/les-operateurs-telecoms-de-moins-en-moins-valeurs-de-rendement_279437.html
4. Les distributeurs alimentaires sont en pleine croissance internationale, exemple: (Casino = 49% de son C.A à l’étranger, pour la plupart dans des pays émergents d’Asie du Sud-Est et d’Amérique du Sud).
5. Coûts de la dette appelés à monter puisque les taux d’intérêts sont à leur plus bas. Hors, Bouygues et Orange ont des passifs totaux et des ratios d’endettement beaucoup plus élevés que Casino et Auchan (Voir tableau des ratios).
6. Les télécoms sont plus suceptibles de souffir des réductions de dépenses des consommateurs VS les distributeurs alimentaires qui sont de première nécessité
- La crise de la dette souveraine en Europe aggrave en outre la situation des grands opérateurs : les plans d'austérité incitent les consommateurs à surveiller leurs dépenses, tandis que la hausse des rendements obligataires renchérit leurs coûts