Organisation en réseau
Pour piloter un réseau, il faut faire face à des risques très courants afin d’assurer un climat favorable aux partages des connaissances (Dyer et Nobeaka 2000) notamment l’encastrement et l’obsolescence, Jacques Boulay et Henry Isaac extrapolent cette idée et s’intéressent aux systèmes d’information pour piloter les réseaux par contre Cécile Fontourge s’attaque à la question du pilotage dans son approche dynamique, une dernière perspective est celle du méta-pilotage des réseaux et montre en particulier qu’il doit permettre à la structure de gouvernance de remplir quatre rôles-clés : la définition de la stratégie du réseau, la coordination des relations, le contrôle de ces deux éléments et l’accompagnement du développement local du territoire.
une grande contradiction entre la littérature et les recherches s’apparente, la première révèle que les relations fortes et plus intimes sont plus explicatives de la survie des entreprises que des liens faibles , en ce qui concerne les recherches Relations rares mais intense en informations pourvoient plus d’opportunité d’affaire. cependant Les alliances sont le fruit de l’expérience qu’on retire des alliances précédentes, donc plus on avance dans l’âge, plus les relations externes seraient efficientes.
Les entreprises effectuent des alliances via des Intégrations verticales ; l’intérêt est de tirer des ressources marketing et un large réseau de distribution, cela permet des retours