L’aspect formel et stylistique
Le roman Candide de Voltaire est un œuvre extraordinaire. Ce n’est pas seulement le contenu qui se distance des histoires, poèmes et faibles d’autres écrivains magnifiques du 18ème siècle. Le style de l’écriture, la structure qui nous aide à retenir la masse des informations, des impressions et des contradictions plus facilement, elles ont aussi une forme que nous ne retrouvons pas chez les autres.
Ce qui m’a impressionnée pendant que je me suis occupée de cette lecture, c’était premièrement la subdivision en plusieurs chapitres. Au début de chaque partie
Voltaire fait un résumé court. Cela veut dire qu’il nous raconte les actions les plus importantes du chapitre suivant en à peu près une phrase. Ce fait laisse tomber la tension de l’histoire principale car le lecteur a un pressentiment ou il est même connaisseur en ce qui se passera.
On pourrait réprouver Voltaire pour cela, mais le grand Voltaire avait l’intention d’éliminer la tension. Par cela nous nous concentrons plus intensément sur les caractères des personnes importantes. Nous nous demandons de plus en plus comment il faut interpréter les mauvaises expériences de Candide dans la monde et les réponses stupides de l’optimiste Pangloss. De mon avis, Voltaire ne rate pas son but, la tension manquante avait l’effet volonté sur moi.
En général les seules chapitres sont courts. C’est pour cela qu’on a le sentiment d’avancer très rapidement avec la lecture et on veut toujours continuer à lire.
A côté de la structure du roman, la forme d’écriture fait aussi partie de la simplicité à lire. Voltaire a utilisé un style banal et simple comme on le rencontre dans la littérature triviale. Les phrases contiennent l’information nécessaire, il n’y a pas de place pour des embellissements inutiles. Elles ne s’étendent pas à l’infinité. C’est aussi la raison pourquoi la lecture ne perd pas de „vitesse”.
Ce sont quelques aspects formels et