MARIVAUX

- Née en 1688, dans une famille de petite noblesse. En 1710 il s’installe à Paris. - Il interrompt ces études de droit pour se consacrer à la littérature, il fréquente des salons littéraires. Il écrit d’abord des romans d’aventure. En 1721 il écrit un journal qui s’appelle « Le spectateur français ». - Il traverse beaucoup de drame : la mort de son père et la mort de sa femme. Il fait faillite en 1720. Cela le pousse a beaucoup écrire. - Elu à l’académie française en 17420. Il s’isole avant de mourir en 1723.

Le paysan parvenu

Un jeune paysan, Jacob est envoyer a Paris pas son père afin de transporter du vin produit en Champagne. Les destinataires sont de riches financiers. Jacob est reçu par des dames. Parmi elles Geneviève, attirée par le jeune homme. Lui est séduit par la maîtresse de maison. Suite à un malentendu entre affaires financières et sentiments, Jacob est contraint de quitter la maison car il ne veut point épouser Geneviève. Errent vers le Pont-Neuf, une femme fait un malaise. Il lui propose de la raccompagner chez elle. Il rencontre alors d’autres femmes attaché aux pratiques religieuses, qui l’invitent à dîner. C’est ici qu’il rencontre Catherine, cuisinière dans la maison. La femme que Jacob a « sauvée » s’appelle Mademoiselle Habert, elle est la cadettes des ces femmes. Toutes l’apprécient et le veulent comme domestique mais M.Doucin, Directeur des ces femmes, exige qu’on le renvoie. Les deux hommes débâtent sur la question du conflit entre l’individu et la société.Les sœurs se disputent a propos de Jacob, et la cadette finit par partir avec celui-ci pour l’épouser. Mais M.Doucin refuse leurs unions. De plus la sœur ainée des Habert provoque un scandale, ce qui mène Jacob devant le tribunal.

La parution de Jacob devant le tribunal est une défaite pour la sœur Habert, car tout plaide en faveur du héros. Cette partie met en avant la femme du président du tribunal que Jacob voit presque comme une