Peur et émotions au travail
Apparaît comme une évidence la difficulté de séparation entre vie privée et vie professionnelle. Nous pouvons apporter ici, l’exemple d’une maman qui se soucie de son enfant qui est malade ; d’un stress ou d’une anxiété liés à des examens ou bien d’une séparation douloureuse. Autant d’exemple qui nous prouve, que nombreuses sont les émotions qui interagissent avec le monde professionnel.
La colère, la peur, le stress, la fierté sont des sentiments qui ont un impact considérable sur le monde du travail. Ces émotions régissent totalement les actions et influent directement sur l’investissement de l’individu dans son activité professionnelle. Ainsi la motivation et la relation avec la clientèle ne dépend pas que du profil professionnel de la personne. Les supérieurs, les collègues, ainsi que les intermédiaires sont autant de facteurs qui laissent libre part aux émotions notamment de par les nombreux impératifs qui les relient. Ces objectifs laissent divaguer une pression permanente et le temps n’est pas un véritable allié au vu des délais souvent inextensibles. De plus, selon les rapports avec sa propre hiérarchie, un employé n’aura pas le même comportement. Son travail sera d’autant plus influencé que l’avancement de ses tâches. Les émotions d’une seule personne sont en capacités d’influencer tout un service.
Les émotions personnelles sont, de manière quasi évidente amenées sur le lieu de travail. Et, de la même façon, les émotions vécues au cours d’une journée professionnelle sont transportées au domicile de l’individu. Qui ne connaît pas le chef de son conjoint ? Les émotions interfèrent le plus souvent selon les humeurs de la personne. Les émotions sont vitales même si dans certains cas, peuvent être imperceptible : l’ataraxie.
Au travail, les émotions doivent avoir une juste valeur car celle-ci influence l’instinct de chacun d’entre nous.
« Lorsque l’on