Philosophie la conscience
La conscience
La Conscience est un terme directement opposé à la Nature. En effet, la Nature » se définit comme étant l’ensemble des choses et des êtres qui existent indépendamment de nous. « La nature » est composée de 2 choses : 1. Le minéral (pierre…) 2. Le vivant qui est caractérisé par l’organisme. Le vivant reste un individu et on ne peut le diviser
Prendre conscience, oblige l’individu de se mettre a distance pour justement en « prendre conscience ».
L’homme est toujours conscient de quelque chose de réel, cela nous permet de prendre conscience de quelque chose de réel, comme d’imaginaire. Cependant il est compliqué de prendre conscience du présent pour l’homme.
Alors que l’animal vit dans l’instinct, chacun est dans sa sphère, ils sont programmés alors que l’homme non.
I) L’avènement du sujet
• Le « je pense », écrit KANT, doit accompagner toutes mes représentations ; • La conscience se définit ainsi comme la présence immédiate et constante de soi a soi ; • Le « je pense donc je suis » (cogito ergo sum) est pour DESCARTES la première vérité absolue certaine. On ne peut en douter sans la prouver, car si je doute je pense et si je pense je suis. C’est à partir de cette vérité première que l’on peut, dit DESCARTES, reconstruire toutes les autres. • DESCARTES fait donc de la conscience de soi comme sujet pensant le fondement premier de toutes les vérités possibles. • Selon DESCARTES, il n’y a de connaissance possible du monde des objets que pour un sujet qui les pense donc pour une conscience. • DESCARTES a donc démontré a travers son livre : « Méditations métaphysiques » que par la conscience, l’être humain exister vraiment. • Le positivisme : expliquer les choses comme elles se produisent d’une façon objective. • HUSSERL pense que l’erreur du positivisme est d’être un « objectivisme » c’est-à-dire de ne pas prendre en compte la subjectivité qui existe dans la construction