Physiopathologie

2365 mots 10 pages
Le cerveau

• Le plus grave pour le cerveau serait la mort. La mort est définie par l'arrêt de la respiration.

• Le 26 avril 1774 le compte Laurent offre des abricot venant d'Espagne a Rose. Elle en mangea et s'étouffa et le médecin constata quelle était morte.
Le compte organisa ses funérailles et lui mis une rivière de diamants un voleur voulu lui enlever et elle se réveilla...

• Au 19ème siècle , le code civile impose la présence d'un officier d'ETAT civile pour vérifier la respiration.
Jusque dans les années 60 on utilise plus la respiration mais l'arrêt cardiaques.
Les autres signes de mort: la dilatation des pupilles, la rigidité du corps etc...

• Dans les années 60 d'autres moyens de définir la mort car au Danemark on invente les premier respirateur artificielle.
Les étudiants de médecine a cette époque pédalaient sur un vélo pour l'alimenter en oxygène ce respirateur.
Puis a été inventé un défibrillateur permettant de vivre artificiellement.
Par la suite, en France jean hamburger invente le Rhin artificiel : la dialyse maintenant la respiration, la circulation et l'équilibre hydroélectrique artificiellement.

Ainsi l'arrêt cardiaque et la respiration ne suffit plus pour définir la mort.

La mort cérébrale fut l'œuvre de nombreux long débat, permettant de répondre a 3 questions:
- quel concepte de mort faut il adopter?
- quel est le statut légal des patients en mort cérébrale?
- comment diagnostiquer la mort cérébrale?

Un patient en réanimation coûte environ 10000 euros par jours (et devient un fardo pour la société) ainsi il faut définir quand qq est mort ou pas.

Aujourd'hui cette notion de mort cérébrale posera souci dans 2 cas:
- lors dun prélèvement d'organe
- lors qu'on souhaite arrêter une réanimation lorsque le cas est desesperé.

Attention cela peut être condamné d'acharnement thérapeutique si on continue a retenter la réanimation ou condamné pour non assistance a personne en danger si le cas n'est pas

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