Plan de synthèse, La théorie du voyage :

I) Une fuite de l’autorité : a. Un besoin naturel préparé (document2), toutes fuites nécessitent d’être anticipées, d’être préparées. La Lecture est le départ vers le nomadisme, les bibliothèques sont les berceaux des voyageurs, le plaisir de réaliser sa perception préparée donne une toute autre émotion au voyage. i. Transition, Toutefois la passion de l’improvisation reste indispensable sur la route de la liberté. b. L’abandon de la sphère sociale, collective et contraignante, pour créer son propre monde et son propre usage de celui-ci, réaliser ses désirs. (Document 1)

II) Un partage : c. Traversée entre deux bornes, du connu vers l’inconnu, de son domicile à un monde sans repère L’entre deux (Document 3) Ce mouvement en l’apesanteur est un moment où l’on va se sentir bien et qui va inciter aux bavardages, à l’interaction dans un espace commun. Une conversation non régie par les principes habituels (sans statut social), sans complexe. Sas entre voyageurs sur le retour, remplis de souvenirs et « d’aventuriers » impatients. d. Partager avec son ami, un compagnon de voyage est nécessaire pour surmonter les nombreux aléas. Sa présence va permettre de partager, l’envie et le désir de cette aventure par sa préparation, de partager l’acte présent, le mouvement et le ressentit (différents) et la réitération à partir de souvenirs partagés. (Document 4)

III) Une face à face : e. Sa subjectivité ne peut être trouvée par le voyage institutionnalisé, comme le tourisme et le sport (document 5). Le touriste erre dans le voyage, le sportif arbore la haine de soi. (une manière de se retrouver) f. Le voyage est une recherche continue de Soi, de son identité, « à l’étranger, jamais on est étranger à soi même » (Document6). Un voyage permet de se retrouver face à soi-même. (Document 7 et