Depuis de nombreux mois, le débat sur le registre des armes à feu est devenu un sujet d’actualité très controversé. Le registre a été créé en 1995 par l’ancien premier ministre Jean Chrétien, après la fusillade de l’école Polytechnique de Montréal en 1989. Ce registre est une banque de données qui sert à identifier les détenteurs d’armes à feu. Il a contribué à la baisse de tuerie et de suicide lié aux armes à feu. Depuis quelque mois, le premier ministre du Canada et le chef de la partie conservatrice, Stephen Harper veut enlever ce registre par le projet de loi privé C-391, qui est la dissolution du registre des armes d’épaule. Monsieur Harper, annonce que le registre est inefficace puisque les propriétaires des armes à feu sont enregistrés, qui veulent dire qu’ils sont donc légaux, mais ils ne peuvent pas éviter des tueries, comme la fusillade du collège Dawson. De plus, depuis la création du registre en 1995, les coûts on passé de deux millions de dollars à plus d’un milliard de dollars, qui est jugé trop dispendieux pour l’état. Cependant, le chef du Nouveau Parti démocratique, Jack Layton, oppose à la loi C-391, qui vise à abolir le registre. Monsieur Layton, veut non seulement protéger le registre, mais il veut l’améliorer convenablement. Toutefois, le chef de la partie NPD a reçu beaucoup de pression sur l’intention de soutenir le registre, parce que douze des trente-six députés on votés pour l’abolition du registre l’automne dernier et seulement quatre des ses douze députés on changé leurs idées. Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, annonce qu’il est contre l’abolition du registre, parce que depuis l’apparition du registre en 1995, le taux d’homicide a descendu de plus de trente pour cent et que les coûts du registre à ses raisons telles qui soit. De plus, les libéraux soutiennent le registre des armes. Ils annoncent que le registre peut sauver des vies et il est nécessaire de défendre le registre. Ce débat constitue un phénomène « du »