Politique budgetaire
Recettes : les impôts (directes ou indirectes)
Impôt direct :
- Impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP)
- Impôt sur les sociétés, sur la VA.
- Impôts locaux (taxe d'habitation+ taxe foncière).
Impôt indirect :
- taxes sur les alcools, cigarettes
- taxe différentielle sur les véhicules à moteur (vignette)
- cotisation et charges sociales.
Dépenses : tout ce que l'État verse aux agents économiques ou de dépenses pour son propre compte.
Il s'agit d'organiser les dépenses et recettes. En tant qu'État gendarme les dépenses sont limitées. Avec la montée de l'Etat-providence les recettes deviennent inférieures aux dépenses.
La théorie keynésienne préconise l'utilisation d'un déficit pour relancer l'activité économique et inversement pour le ralentir.
C'est une révolution car jusqu'à là l’Etat chercher un équilibré dépenses et recettes. Keynes va bousculer cet a priori est expliqué que la supériorité des dépenses face aux recettes de manière provisoire et avantageuse car une fois la croissance retrouvée on arrivera à rétablir l'équilibre budgétaire.
L'Etat va emprunter de l'argent en limitant des bons du trésor, la croissance va entraîner la hausse des recettes supérieures à ce que l'on a emprunter. Le problème des bons du trésor. Handicap à la croissance économique ?
- effet d'éviction.
- Effet inverse : si emprunt supérieur aux leurs recettes liées à la croissance.
- Diminue la consommation.
Le déficit peut aussi être financé par l'épargne étrangère (cela évite l'effet d'éviction et la baisse de la consommation liée à la hausse du taux d'intérêt du bon du trésor).
Problème de l'épargne étrangère.
- dangers de la hausse du taux d'intérêts étrangers.
Le déficit peut aussi être financé par création monétaire.
Problème de la création ex