Musique populaire dans le monde capitaliste : vers une sociologie de l’authenticitéLarry Portis Lee est un historien et sociologue américain. Il vient d’une famille de la classe ouvrière dans la société capitaliste américaine. Ces études en France, lui ont permis de comprendre la sociologie françaiseIl est né le 3 juillet 1943 à Bremerton, Washington et mort le 4 juin 2011 à Soudorgues dans le Gard c’ est donc un historien politique, professeur d'université et militant libertaire Libertaire qui lui correspond pour ceux qui …afficher plus de contenu…

Samuel Charters, historien de la musique américain, souligne lui l’influence de la musique arabe dans le flamenco espagnol et il ajoute que le fado portugais, souvent considéré comme une forme de blues, a aussi été marqué par une influence arabe.Par ailleurs on sait qu’un mathématicien américain,du nom de Herman Chernoff, a pu établir que la structure des musiques africaines possède de nombreux rythmes qui s’entrecroisent et qui engendrent des sons …afficher plus de contenu…

La soul fut un moyen de la communauté afro-américaine d’affirmer son identité et sa spiritualité dans un pays marqué par le racisme et la ségrégation.Une musique formatée pour la distribution de masse, la consommation et le profit n’est pas légitime pour Portis, car il existe un sentiment d’imposture quand on la compare au rock et au rythm and blues et à ce que cette forme de musique a voulu exprimer à l’origine.Pour Portis, la notion d’authenticité dans la musique populaire, existe donc quand elle exprime sincèrement un ressenti, et c’est en cela qu’elle devient légitime.Pour conclure tout cela Portis fait une analyse des rapports sociaux, de l’ethnicité et de l’authenticité, liés à la musique populaire au sein d’une société