psychologie sociale
Cette méthode, initiée et découverte par le très controversé mais néanmoins génial Dr Ryke Geerd Hamer dans les années 80, se base sur l'observation clinique des symptômes physiques accompagnant les suites d'un choc émotionnel violent.
Les angoisses fondamentales d'un individu sont liées à sa survie, elles sont logées dans le cerveau archaïque (cerveau limbique) et correspondent aux besoins « animaux »vitaux : manger, boire, respirer, se déplacer, se protéger, se reproduire, appartenir au groupe. Ces angoisses fondamentales restent très présentes mais sous d'autres représentations chez l'homme moderne dont le cerveau a bien évidemment évolué pour présenter des hémisphères cérébraux où siègent entre-autres, l'imagination, la réflexion, la conscience mais aussi l'inconscience des actes et des pensées refoulées (cf Sigmund Freud).
Pour résumer, un choc vécu comme intense, imprévu, imparable et dans la solitude va immédiatement engendrer un double conflit en fonction de la tonalité du ressenti propre à chaque individu : un conflit psychologique (un stress) qui impacte la conscience ET un conflit biologique inconscient qui lui impacte le corps physique. Le ressenti étant l'expression physique de l'émotion.
Tant que le mental du sujet n'a pas trouvé de « solution » ou bien que les événements extérieurs ne « solutionnent » pas les effets de ce choc, les conflits psychologiques et biologiques restent actifs.
A l'instant de la solution, démarre alors une phase dite de « réparation » à la fois du stress psychologique engendré par le choc mais aussi du stress physique touchant les organes de l'individu. Cette phase dite de réparation est reconnaissable à la grande fatigue physique générale qui