Comme l’a dit Ronald Reagan : « La Constitution est un document qui protège le peuple du gouvernement ». C’est ainsi que nous nous intéresserons aux Constitutions, de manière générale.
Il convient tout d’abord de définir le terme de Constitution, au sens général.
Historiquement, la Constitution a d’abord désigné un état de fait, et un ensemble de relations qui amenaient une domination au sein d’une collectivité humaine, les romains ont mit en place la première Constitution historique connue, le concept a évolué depuis.
La Constitution apparaît alors comme la façon dont l’État est gouverné au XVIe siècle.
Elle peut revêtir plusieurs formes et aspects.
Qu’elle soit écrite ou coutumière, comme au Royaume Uni, sa puissance et sa suprématie restent inchangées, puisque la Constitution est la norme absolue, qui prime à tout autre texte ou coutume. Elle est le texte, en une ou plusieurs parties, comme en France où la Constitution est composée de plusieurs documents, qui garanti les libertés fondamentales du peuple, et elle peut être remise en question par le biais d’une référendum si le gouvernement estime qu’il y matière à débattre.
Ainsi, contrairement aux États Unis, qui possède la même Constitution depuis 1787, la France a connu plusieurs Constituions, environ une quinzaine.
Il convient de s’y intéresser puisque la Constitution d’un État est à la base de toute sa législation, et même plus largement, de sa hiérarchisation.
La question est de savoir qu’est ce que représente une Constitution, et quelles en sont les buts, les limites, et les spécificités ?
Nous verrons quelles peuvent être les différentes formes de Constitution, ainsi que la valeur impérieuse et suprême qui lui est attribuée.
Nous nous pencherons également sur son pouvoir à garantir le pouvoir politique, tout en protégeant les droits des