On pourrait penser au premier abord que l’individu se connait lui-même. A la question « qui suis-je? » je peut répondre « je suis moi, je ne suis pas toi». En effet, l’individu sait quel le « moi » se réfère à lui-même donc au « je », et le « toi » à l’autre. Dire moi défini mon unicité mais aussi ma collectivité. On pourrait penser que comme je suis moi et que j’ai grandi avec moi, je suis donc plus à même de me connaitre, de savoir qui qui je suis « qui mieux que moi peut savoir qui je suis ». En effet, tout le monde dit moi mais je suis seul a utiliser le moi pour moi-même. Chaque individu possède une caractéristique qui lui est propre la pensée comme le dit Descartes « je pense donc je suis » se qui fait de l’individu un homme et non un animal « je » suis le seul à connaitre mes pensée je sais donc qui je suis réellement. Il existe un autre caractère qui permettrai de répondre a la question « qui suis-je », notre identité officiel, une définition social de moi « je suis Géraldine Berret née en 1984 à nantes...» c’est une sorte d’identité standard que tout le monde possède, une connaissance de soit qui m’est propre et fixe, mais qui est accessible à tous. Je sais qui je suis officiellement et les autres peuvent aussi le savoir. Les autres peuvent aussi m’aider à répondre à la question « qui suis-je » ils ont un regard plus objectif sur moi que moi-même et pourraient répondre à la question plus raisonnablement que moi-même car je n’ai pas le regard des autres sur moi. La connaissance des autres sur moi allié à ma connaissance personnelle de moi pourrait former une réponse exacte à la question posée, mais ce n’est pas le cas.
En effet, admettons que je me prenne comme objet, je ne serai pas apte à me juger intégralement et objectivement, et même avec l’aide des autres qui ont un regard plus objectif sur moi, ils ne savent pas exactement qui je suis, ce que je pense. Même si l’autre essai de se mettre à ma place, il ne sera pas moi. La connaissance du