Freud Sigmund a passé le plus grand de son temps à lutter contre la religion qu’il considère comme un obstacle à l’intelligence humaine et à son développement. Il publie en 1930 Le malaise dans la culture qui expose sa conception de la réalité sociale et sa philosophie politique. Depuis le début de son existence, l´Homme a cherché à se connaître, à savoir qui il est et quel est son but dans le monde. Cet ouvrage pointe un problème particulier: si l’homme n’attend pas un retour à la nature, il n’est pas pour autant que le développement culturel sache canaliser l’agressivité humaine. Ce qui oppose les individus, ce sont leur penchant inné à l’agression. Il étudie le comportement humain pulsionnel envers les autres et les méthodes que l’homme utilise pour vivre dans une société culturel. En effet, L’être humain est un être de culture c’est-à-dire qu’il se distingue des autres espèces animales. Ainsi sa nature n’est pas « naturelle » mais « artificielle », au sens où elle est façonnée, fabriquée, et transmise, de génération en génération. L’homme ne se contente donc pas de suivre « sa » nature, il l’invente, au sein d’une communauté et il se définit ainsi à partir de son appartenance à une société. L’homme est donc un animal culturel, car il a une histoire et il n’est pas déterminé par ses instincts. Nous allons nous intéresser de la page 132 à 133 (extrait du chapitre V). Il s'interroge, ici, à la nature humaine et décrie la thèse commune selon laquelle l'Homme est naturellement bon. Il étudie le comportement humain pulsionnel envers les autres et les méthodes que l´Homme utilise pour vivre dans une société de culture. On peut donc se questionner si la culture prend le dessus sur la nature pulsionnelle, comportement primitif de l´Homme. Dans un premier temps, Freud contredit la thèse en question et dans un second temps, le tout d'exemples tirés d’expérience puis d'exemples historiques (de guerres et d'invasions). Comment Freud perçoit-il la nature de l’homme? Pour