Rapport de stage : les immobilisation
Trois catégories :
immobilisations incorporelles
immobilisations corporelles
immobilisations financières.
Par rapport à une charge, l’immobilisation est un bien durable, d’une valeur importante
(+ 500 € unitaire) et qui par nature ne sera pas incorporé dans la production de l’entreprise.
L’immobilisation se détériore, s’use selon son usage ou sa nature : elle est donc ou non amortissable. Quelle que soit sa nature, elle doit être conservée et utilisée durant plusieurs exercices, indépendamment de son propre rythme d’amortissement.
Lors de l’arrêté des comptes annuels, il faut dresser l’inventaire physique des immobilisations, afin de déterminer ceux que la société n’utilise plus (rebuts), ceux vendus au cours de l’exercice (cessions) et ceux qu’elle a acquis (acquisitions).
Cet état d’inventaire permet de cerner précisément le patrimoine de l’entreprise, sachant par ailleurs que la taxe professionnelle est basée en partie sur les valeurs d’origine de certaines immobilisations : il convient donc d’y être attentif, pour ne pas à acquitter cette taxe sur la base de biens détruits, dérobés ou définitivement inutiles.
La durée et le mode d’amortissement sont déterminés en fonction de l’utilisation dudit bien.
L’amortissement s’applique sur des biens dont la durée d’utilisation est au moins égale à un an, qui sont destinés à être conservés à moyen et long terme et surtout ne sont pas des biens de consommation ou d’incorporation dans la fabrication d’autres biens.
Compte 681110 Amortissement des Immobilisations incorporelles :
Dépréciation des biens n’ayant pas de consistance physique (d’où le terme incorporel).
Exemple : les logiciels, les fonds de commerce, le droit au bail, les frais d’établissements.
Compte 681120 Amortissement des Immobilisations corporelles :
Dépréciation des biens ayant une consistance physique
Les immobilisations financières, quant à elles, ne