Real - barça
Homme en noir contre Casa Blanca…
C’est parti ! Après le premier Clasico (1-1 à Madrid), j’avais pronostiqué une victoire du Real en Coupe du Roi mais une qualif du Barça en finale de Champions League. Le lointain souvenir de la manita de novembre dernier ? Un peu, oui, ça a joué. Mais c’est surtout l’évidente supériorité des Blaugranas qui ne laissait guère de doutes. Et la finale Barça-Manchester ? Pareil : net avantage Barça. Barça favori. Manchester a très peu de chances. A moins que… Mais on en reparlera plus tard. Quoi d’autre ? L’arbitrage soi-disant « défavorable » au Real ? Déjà, je ne discute jamais l’arbitrage. Tout au plus je peux juger que l’arbitre a été bon ou pas. Mais c’est tout. J’accepte toutes les décisions arbitrales. Le foot fiction ne m’intéresse pas : « Et si le but d’Higuain !…Et si le Real avait fini à 11 ! Et si…Et si…» Pfffff…
L’arbitre fait partie du jeu et sauf preuves irréfutables d’une corruption avérée, je prends acte de toutes ses décisions. Et, tiens, allons-y, tant qu’on y est ! Je suis contre la vidéo, à l’exception peut-être d’un système 100 % infaillible qui détermine si le ballon a vraiment franchi la ligne. Et encore… Contester l’arbitrage est trop souvent l’argument des faibles. Avec Mourinho, cette posture idiote a été élevée à un rare niveau de stratégie suicidaire. Dans son sillage paranoïaque, ses joueurs (pauvre Casillas, pauvre Cristiano), son adjoint Karanka, la presse madrilène et une bonne partie des supporters meringués sont devenus ses perroquets pathétiques dans une campagne de victimisation inouïe dans l’histoire de ce sport. Et tout ça pour masquer une impuissance face à la machine à jouer barcelonaise. Avoir réduit le grand Real à une pleureuse exaspérante : bravo, José ! Un Don José stupidement absent