Rene Descartes
Deuxième idée : les biens du corps et de la fortune sont fixés à notre naissance et c’est une variable fixe. Tandis que l’âme dépend de deux acteurs, la connaissance et la volonté d’avoir ce qui est bon. On ne prend pas en compte la connaissance car elle est : « souvent au-delà de nos forces »l et on se focalise sur la volonté qui est encouragée par notre envie de faire les choses bonnes pour nous qui sont, elles-mêmes apprises par notre esprit.
Troisième idée : le souverain bien est défini par les deux idées explicitées précédemment et résulte en fait du : « plus grand et […] du plus solide contentement de la vie. (Sorte de conclusion) Première idée : les biens sont selon Descartes, l’ensemble de ce qu’on possède ou qu’on est susceptible de posséder. Ceci impliquerai de penser que le souverain bien est lui-même la réunion de tous les biens provenant : « tant de l’âme que du corps et de la fortune » l.3. Mais ceci semble erroné selon lui car en réalité, le souverain bien de tout un chacun est en fait une envie de : « Bien faire »l.5 dans le but d’en ressentir son : « contentement » l.5
Deuxième idée : les biens du corps et de la fortune sont fixés à notre naissance et c’est une variable fixe. Tandis que l’âme dépend de deux acteurs, la connaissance et la volonté d’avoir ce qui est bon. On ne prend pas en compte la connaissance car elle est : « souvent au-delà de nos forces »l et on se focalise sur la volonté qui est encouragée par notre envie de faire les choses bonnes pour nous qui sont, elles-mêmes