reprise economique
Ce dossier se compose de deux articles de presse et d’une chronique publiés dans Le monde le 5 Juillet et le 6 Juillet 2014, ils se penchent sur la reprise économique en l’Europe.
En effet, la crise de 2008 a fait basculer la situation économique de la zone euro. Aujourd’hui, les taux d’investissement dans l’Union Européen ont tendance à la baisse ; entre 2008 et 2013 les sociétés non financières ont eu une chute de 16%. L’investissement public est passé de 4.5% du produit intérieur brut en 1970 à 2.5%, ainsi que l’investissement privé qui est passé de 20% à 15%. Cette instabilité financière a fait que les dettes des entreprises pèsent le double et que le secteur public marche aux pas de l’austérité.
En conséquence, les prévisions de croissance de la majorité de pays européens restent faibles. Face aux politiques monétaires des banques centrales américaine et européenne, l’ensemble de la zone euro se voit contraint à baisser ses taux d’emprunte. Comme c’est le cas de la France, qui est bénéficiée puisque cela permet de diminuer sa charge de sa dette.
Vu la préoccupation de gouvernements, la réunion à Aix-en- Provence a eu lieu le 4 Juillet où un cercle des économistes et chef d’entreprise ont assisté pour analyser et trouver possibles solutions. Ils ont été intéressés à la compétitivité de l’Europe et ont signalé l’importance d’investir pour inventer demain, surtout dans les marchés affaiblis. De même, ils ont demandé plus dynamisme à la banque centrale européenne.
En conclusion, cette période économique de l’Europe est une opportunité pour consolider son marché intérieur et pour relancer l’investissement. La responsabilité des dirigeants et de la banque européenne est de se concentrer aux moyens et aux conditions réels à fin de faire un grand plan budgétaire et le donner une bonne direction.