Nature de l’œuvre : installation, de type environnemental.

( biographie ou argumentation❗️)
Ne à la fin de la seconde guerre mondiale Christian boltanski n'a pas connu l'horreur des camps ni celle de la guerre. Cependant la connaissance et la mémoire qu'il a de cet événement lui ont été transmises par ses parents qui lui ont raconte ce qu'était la vie à cette époque, la perte de nombreux proches et l'obligation pour son père de se cacher. C'est donc pour cela que la Soha prend une très grande place dans sa production artistique . cet artiste s'inscrit dans le domaine artistique de la "post mémoire"c'est à dire qu'il a la particularité d'avoir recours à l'imagination et à la création pour investir sa mémoire puisqu'il ne possède aucun souvenir de la Shoah.

(Argumentation❗️)
Pour traiter un sujet aussi dramatique que celui des victimes de la Seconde Guerre Mondiale, Boltanski utilise la symbolique du funèbre qui se manifeste par l'ambiance qui se dégage de son œuvre et qui est produite par l'utilisation d'objets associes au funèbre comme le vêtement qui est une trace qui témoigne d'une vie passée et rappelle le corps qu'il a habillé, la mollesse du vêtement inhabité rappelle celle du corps devenu cadavre.
Les lampes ressemblent à des bougies, et insufflent l'idée de la religion et rappelle les rituels religieux mortuaire : Boltanski donne ainsi un caractère sacré à Réserve, et en fait un lieu de méditation sur la fragilité de la vie, la mort.
L'artiste ne présente donc aucune image morbide de cadavre il n'exploite ni l'angoisse ni la terreur que la mort peut causer chez les êtres humain

(Description⁉️)
Les vêtements sont aussi des objets tout à fait ordinaires. Ils touchent le spectateur en se rapprochant de lui, en lui montrant des éléments "quotidiens".
Les linges répandent une odeur de grenier. Car la forte présence de l’œuvre ne se manifeste pas seulement visuellement, mais par une dimension olfactive

(Conclusion‼️)

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