Le plaisir de retrouver, de découvrir et de savourer. Il y a quelques jours, nous évoquions l’ouverture du Novotel à Tunis et le niveau de cet hébergement conciliant les attentes d’un public tourisme et affaires, avec le potentiel de la capitale.
Le restaurant du Novotel constitue à lui seul un pôle d’attraction dont le cadre design, le service attentionné et la diversité gastronomique méritent la découverte.
L’espace concilie les grands volumes, les transparences architecturales, une harmonie florale et une vue, peu banale dans la restauration tunisienne, sur la cuisine et les chefs en pleine création culinaire.
Installés dans une judicieuse répartition des tables à portée d’un bar particulièrement bien garni, une clientèle culturellement fort diversifiée y appréciera une cuisine aux saveurs variées, conciliant les incontournables de la cuisine tunisienne avec les subtilités de la gastronomie française et quelques légumes fort inhabituels en Tunisie ; comme les brocolis chers à nos amis italiens.
Subtilité ! Oui, c’est peut-être le terme qui définit le mieux les créations culinaires du chef français.
Il combine de grands classiques et quelques découvertes des cuisines française et arabe, en jouant habilement des saveurs et des mets.
Sur la carte des poissons, son filet de sole à la dieppoise fait un clin d’œil à la Normandie, son poisson, ses fruits de mer et sa crème.Son poisson braisé révèle des saveurs plus locales rehaussées d’une touche pimentée, propre à la cuisine nord-africaine.
Le restaurant du Novotel décline les couscous en fonction des jours de la semaine. Mais il s’écarte aussi des sentiers battus, au moins pour un public peu familiarisé avec la diversité culinaire tunisienne.Son « nwasser » à l’agneau et poulet, accompagné de petites pâtes plates et carrées, est une escale dans l’incontournable de la cuisine tunisienne… et une découverte pour les visiteurs étrangers.
Avec une cinquantaine de dinars par personne, le Novotel offre un repas