Restitution atelier valeur
D’ailleurs, l’enquête faite par le sociologue Monsieur Mergier montre que le public confond et ne comprends pas forcément ces valeurs. J’ai été frappée par les propos d’une personne interviewée qui indiquait qu’une mutuelle est à but lucratif ! c’est dérangeant d’entendre un tel propos.
Dans l’esprit d’autre personne la non lucrativité c’est « ne pas gagner d’argent » et ils voient cela comme de l’amateurisme et un manque de compétence financière.
Il a également été question d’une nouvelle notion, la bienveillance qui pourrait émerger comme une nouvelle valeur. Définir la bienveillance c’est ce que les participants ont tenté de faire mais la définition de ce mot ne semble pas claire pour tous. On a finalement opté pour dire qu’elle est sous entendu au travers de la solidarité. Aussi, plutôt que de tenter d’en inventer une autre, il faut déjà réussir à défendre (plaider, faire valoir) celles qui font notre identité.
Ainsi pour y arriver, et comme l’indique Monsieur Mergier, il faut considérer l’adhérent en tant qu’individu et privilégier cette relation.
Véhiculer nos valeurs passe par la proximité. Il faut retrouver cette proximité au travers du militantisme.
Au cours de cet atelier, monsieur Borello, président du directoire du groupe SOS, entrepreneur social, nous a fait part de sa position au sujet des statuts. Pour lui ils ne font pas la vertu, même s’ils garantissent un certain nombre de choses, ils ne sont pas suffisants.
Par ailleurs, monsieur Borello nous a également dit que la solidarité c’est de proposer des produits