Rousseau, les confessions
Les confessions, livre II
Dans cet extrait, Jean Jacques Rousseau décrit un vol qu'il a commis lorsqu'il travaillait pour Mme de Vercellis. Le vol d'un ruban. A travers cette histoire, Rousseau se confesse.
Il confesse la fausse accusation qu'il a portée sur Marion, la cuisinière qui travaillait avec lui. Il nous raconte aussi le jugement et les conséquences de cet acte, son renvoi et celui de Marion et aussi les remords qu'il a jusqu'à maintenant.
Le récit du vol, l'accusation, le jugement et les conséquences:
Le récit du vol: Rousseau décrit le vol du ruban brièvement et clairement. Il voit le ruban de Mlle Pontal, il lui plait, il lui vol et ne le cache pas.
L'accusation: Rousseau n'a pas eu peur de voler le ruban mais des qu'on l'accuse, il se trouble, il perd ses moyens et accuse la jeune Marion.
Le jugement: il y a une assemblée nombreuse. Une personne de l'assemblée a un rôle titre et un rôle important: le comte de la Roque qui est aussi le juge. Devant cette assemblée se tient Rousseau et Marion, les accusés. Toute l'assemblée regarde la scène: Marion qui prend connaissance du crime qu'elle n'a pas commis et Rousseau qui l'"attaque", l'accuse. Les deux s'affrontent.
Les conséquences: Marion et Rousseau sont renvoyés.
L'action de l'histoire:
On peut comprendre l'histoire selon les temps employés.
La description du vol, de l'assemblée et encore de la sentence est écrite au passé -passé simple et imparfait. Lorsqu'on accuse Rousseau au début de l'extrait, il utilise le présent "je balbutie", de même des que Marion arrive devant l'assemblée et qu'il doit l'affronter "elle reste interdite". La fin de l'extrait se termine aussi au présent avec les remord de Rousseau.
A travers les temps utilisaient, Rousseau nous montre ce qui est important dans le texte. L'utilisation du présent nous rapproche, rend la scène plus vivante et nous donne la sensation d'être présent tandis que l'emploi du passé met une distance. Ce qui est