Le train avait encore parcouru que quelques kilomètres (et la route était longue nous ne nous arrêtions pas avant le lointain terminus, courant ainsi pensant 10h de fils). Quand à un passage à niveau j’aperçus de la fenêtre une jeune femme. Je ne l’ai aperçu mais son visage resta gravé dans ma tête pendant un long moment. Elle avait un visage si doux et si gracieux. 10h, je me dirigeais vers le wagon bar, quand j aperçut une femme, derrière son journal. Je ne l’a voyait pas distinctement, mais je voyait déjà la femme du passage a niveau. Je l’abordais, elle me sourit, et me dit bonjour de sa douce voix. Je ne comprenais pas, comment pouvait elle être la et au passage à niveau. « Calme toi jean, calme toi, certes cette femme lui ressemble mais ce n’est pas la même » Je retourne a ma place, la femme, elle finit son café. Arrivé a ma place, je continuait à déliré, la femme était en face de moi. « Je devient fou ».
Nous entamions une conversation, je voulais comprendre, il fallait que je comprenne.
- « et vous vous appelez ?
- Jean je m’appelle Jean
- Bonjours Jean » dit elle d’une douce voix « Moi, c’est Apolline, pourquoi prends tu le train ? Tu vas voir de la famille ? »
- Eh oui, malheureusement, tout les ans je dois rendre visites à mes parents qui habite à Florence. Et vous qu’aller vous faire à Rome ?
- J’y vais pour le travail, je travaille dans la mode se qui m’oblige à faire de nombreux voyage, il y a un défilé a Rome et ma société en fait parti.
- C’est intéressant ma mère travaille aussi dans la mode » bafouillait-je. Il me fallait une raison de connaître sa société. J’irais après avoir la même discussion avec la femme au bar, ainsi je serai rassuré, et je pourrai enfin dormir en attendant ce lointain terminus. Après la discussion avec Apolline, je savais qu’elle travailla à Dior. Elle avait 22 ans, elle habitait à Paris depuis 3 ans, dans un petit appartement dans le XIX ème arrondissement. Il était 11h, dans quelques temps, je serai endormi,