Les références mythologiques de Petites Hymnes de mon invention

L'HEURE : Dans ce premier texte, on retrouve de nombreuses références à la mythologie romaine. Ainsi, on apprend que la déesse de l'heure est la fille de Cronos ( titan du temps ) ; « Faucheur orgueilleux ». Il y a ensuite des références à des divinités telle que Héphaïstos, dieu des forges et du feu : « Et la main ingénieuse, pour animer un métal. ». On a ensuite une référence à Apollon, le dieu du soleil levant : « Dans son char étincelant ».Ici, l'Heure a pour rôle de dompter Pégase afin qu'il tire le char. Les références de ce texte lui donne un aspect cyclique ; en effet il y a le « grand Tour » des planète mais aussi le cycle de la vie.
La dernière références est une référence à Cassandre, elle représente la destinée, dans ce texte, Belleau l'implore d'être plus « clémente » avec Ronsard.

LE PAPILLON : Ce poème n'est pas riche en références mythologiques mais en revanche, plusieurs poètes et savants de l'antiquité sont cités tel que Nicandre, Callimaque, et Anacréon. On peut alors se demander si se sont des disciples d’Hermès et dans ce cas quel enseignement Belleau a voulu donner dans son poème. Dans les références, on retrouve le mythe d'Argus le gardien d'Inache. Argus devait veiller sur Inache qui avait été transformée en génisse par Zeus afin qu'Héra ne découvre pas que Zeus l'avait trompée encore une fois, pour se faire, Argus possédait 100 yeux qui n'était pas tous fermés. Dans ce poème, Belleau regrette que le papillon n'est eu à garder Inache mais il n'explique pas son choix. Ensuite, il y a une référence à Apollon et Artémis, ensembles ils forment un cycle : le jour et la nuit et dans ce poème, on voit apparaître le papillon au début du texte et il meurs à la fin. Les références de ce poème le rende plus hermétique et il nous amène à nous demander si les poètes de l'antiquité cités n'étaient pas des disciples d'Hermès

LE CORAIL : On retrouve