Saut a elastique
Cette activité s'est développée à partir des années 1980. Elle s'inspirait alors d'une activité traditionnelle du’une ile Vanuatu, pratiquer par les Saa,où un rite initiatique gol consiste à sauter de 25 mètres en se freinant à l'aide d'une liane nouée à la cheville
Le saut à l'élastique est introduit en France par le Néozélandais Alan-John Hackett qui se jette de la Tour Eiffel en 1987.
Au jourd’hui, le saut à l'élastique est pratiqué le plus souvent à partir d'un pont, mais il est également possible aux amateurs de sensations fortes de sauter d'une grue, d'un téléphérique ou d'une tour de télévision
Les sites les plus hauts de France desquels le saut à l'élastique est pratiqué sont le pont de l'Artuby (182 mètres), le pont de Ponsonnas (103 mètres), le pont de la Mariée (80 mètres)Il est également pratiqué depuis un téléphérique à la station des Deux Alpes (140 mètres).
Le saut à l'élastique à partir de grues est très répandu. L'un des meilleurs exemples : les Solidays (pour la lutte contre le SIDA) où chaque année deux grues en batterie, mises en place par une association exclusivement bénévole, font sauter pendant trois journées plus de 2000 festivaliers.
Lubomira