Intro : Je vais vous présenter la scène 10 de l’acte II des fausses confidences, etudié en Francais dans le cadre théatre et stratagème. C’est une piece ecrite par Marivaux, né en 1688 et mort en 1763. L’intrigue est centrée sur le langage et sur les farces, pièce typique du mouvement appelé le marivaudage. Pour résumer rapidement, Dorante, un jeune noble qui a perdu sa fortune, aime Araminte, une riche héritière. L’ancien valet de dorante, donc dubois, qui se retrouve au service d’araminte, a …afficher plus de contenu…

Pour contrer ces obstacles, dubois va mettre en place une fausse confidence avec dorante : il va dire a araminte que celui-ci l’aime eperduement mais qu’il ne sait pas que celle-ci est au courant et tout cela dans le but de rendre araminte amoureuse a son tour.Precisement dans l’acte II scene 10, un portrait d’Araminte a été amené dans la maison tandis que Marton croyait qu’il lui était destiné ; il y a donc une grande confusion, presque tous les personnages sont sur la scène sauf Dorante, le principal concerné. On entend d’un coup une dispute entre Arlequin et Dubois, les 2 valets, qui entrent en …afficher plus de contenu…

Pour complémenter cette scène comique, il y a de nombreuses insultes : ta race de canaille ligne 4, ou encore ostrogoth ligne 15. Pendant cette querelles et ces invectives (mots retrouvables ligne 8 et 13), les autres personnages tous présent sur scène hormis dorante comme dit plutôt, sont essentiellement spectateur, a part le fait que les maîtres continuent à donner des ordres comme « de quoi sagit-il ligne 8, approchez dubois ligne 9 » qui montre quand même le certain pouvoir des maîtres envers leur valet, plaisant à regarder pour le spectateur sachant comme Dubois joue de cette société.Cette scène reste précurseure du motif de la querelle qui reste obscur, a en voir la répétition du groupe nominal « un mot », visible ligne 3 (si je disais un mot), ligne 10 (qu’est-ce