Seminararbeit lyrische kurzformen
Le soleil avait laissé place à la neige, des immenses tas de neige, colossales neige, comme Hans Castorp avait jamais vu de sa vie. Il n´en avait vraiment pas manqué l´hiver dernier, mais son abondance était plus faible comparer à cette année.
Les chutes de neige étaient monstrueuses et immenses et remplisaient l´âme avec une confiance aventureuse et une excentricité de cette sphère.
Il neigeait jours et nuits, en rafales clairsemé ou dense, mais il neigeait.
Le peu des chemins, tenus practicables, ressemblaient à des chemins creux avec des murs de neige d´une hauteur qui dépassait un homme de chaque côté, des tableaux albâstres, qui étaient bien vus dans leurs scintillement granuleux comme un cristal, et qui rendaient servis aux clients du sanatore „Berghof“, pour peindre et écrire, pour la communication de toutes sortes des nouvelles, plaisanteries et allusions désobligeantes.
Mais on marchait aussi entre les murs sur un terrain fort élévé, comme il y en avait effondré avec une pelle, on en sentait aux points et trous déchaussées, où le pied pouvait s´enliser tout à coup, au-dessous profondément jusqu´au genou: il fallut faire attention de ne pas se casser une jambe à l´improviste.
Des bancs publics avaient disparu; enfoncé; seul, dépassait encore un morceau de dossier l´enterrement blanc.
Au centre du village, le niveau des rues était si curieusement fait, que les magasins qui se trovqient qu rez-de-chaussée étaient devenus des caves, dans lesquelles on descendait par l´escaliers de neige du troittoir. Et il neigeait encore sur les tas de neiges que étaient déjà tombés, jour après jour, en silence en gelée modéré, dix, quinze dégrées de froid, qui n´étaient pas trop forts- et on les sentit peu, il en aurait été cinq ou deux dégrées de froid, l´accalmie et la sécheresse de l´air reduisaient la puissance.
Au matin il faisait très sombre, on prenait le petit déjeuner à la lueur artificiel des lustres lunaires dans