Sophie
Cette lettre est tout d'abord basée sur le thème de l'amour. En effet, outre le prodigieux philosophe qu'il fut, Diderot fut aussi un homme profondément animé par l'amour. Dans cette correspondance, il expose donc clairement les sentiments si intenses qu'il ressent pour Madame Volland. On pourrait ainsi parler d'un amour passionnel, comme l'atteste le champs lexical de la passion « folie » (ligne 1), « volupté » (lignes 5 », et « ivresse » (lignes 6). Cette amour est selon lui synonyme d'allégresse, tel le prouve le champs lexicale du bonheur, « heureux » (lignes 9), « bonheur » (lignes 10). Sans l'amour, Diderot ne pouvait être heureux.
De plus, on note que le corps de Sophie Volland est omniprésent dans cette lettre. Effectivement, le champs lexical corporel le démontre, « bouche » (ligne 1), « mains » (lignes 5), « lèvres » (lignes 5). Ce qui suppose le désir de Diderot de prôner, toujours avec une subtilité déconcertante, les joies, les plaisirs du corps. Et donc implicitement de la liberté sexuelle.
Enfin dans cette lettre, Diderot fait l'éloge de sa bien aimée. Une partie de cette dernière lui est consacrée. Dans ce passage, il ne cesse donc de la complimenter, le prouve ainsi le