Stun-ax
A la mi XVIIIe siècle, lors de l'époque de l'écrivain Montesquieu, du grand Voltaire, du philosophe Diderot et du dramaturge Beaumarchais où la France était sous le règne de Louis XV. Un prénommé Édouard de Mariton se baladait dans les faubourgs de Paris, jeune noble et fraîchement diplômé de l'école des sciences, il arriva dans une taverne faisant l'angle d'une rue pour s'y rafraîchir.
Le jeune Édouard manquait plutôt d'assurance, il s'assit à une table dans un coin où une seule bougie éclairait. Un homme dont on ne voyait que la moitié de sa tête, vieillis par ses rides, perdant ses cheveux et dont la face était couverte de cicatrices, intrigua Édouard. D'un ton ferme il commanda une chope de bière, méprisant d'une manière insolente la serveuse. Édouard ne connaissant pas les bas fonds de la société parisienne et curieux de ceci il s'approcha du vieille homme et lui demanda : « Excusais moi Monsieur mais une chose m'intrigue, je ne comprend pas pourquoi il y a autant de méprises dans vos paroles. Les femmes sont belles pourquoi ne pas les aimaient ? » L'homme le regarda l'aire moqueur et connaissant la vie lui dit : « Petit, je m'appelle Antoine Fariand, à l'époque il y a bien des années de cela quand les gens entendaient mon nom ils en tremblaient, j'étais connus dans toute l'Europe en tant que grand bandit des routes. J'étais un des hommes les plus recherchés que se soit par les autorités ou bien par les femmes pour mon physique digne d'Apollon. Je n'avais aucunes cicatrices, aucunes rides, aucuns cheveux gris, aucunes dents perdus et aucunes pitiés. Lors d'un de mes énièmes voles dans les contrés de l'Est, j'arrivai dans une ville perdu se nommant Cluj-Napoca à proximité de la chaîne des Carpates. On m'avait parlé de cette ville non pas pour la richesse des lieux mais pour leurs capacités avancés aux niveaux médicinal, et oui j'étais malade depuis déjà plus de 6 ans j'étais malade, nombreuses fut mes visites chez des docteurs reconnus