Suite du texte ''le veston ensorcelé''
Deux jours après, par une nuit orageuse, pendant que j’étais en train de me laver, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Un frisson me parcourus le corps, j’avais si peur de l’ouvrir que je faillis m’évanouir. Alors je pris mon courage à deux mains et j’allai ouvrir cette maudite porte. Je mis ma main sur la poignée, l’ouvrit délicatement en frissonnant et c’était bien lui : le tailleur de malheur. Il était Vêtu d’un ensemble noir comme pour les enterrements. Je lui dis doucement :
-<<bonjour, c’est pour ?
Il me répondit d’une voix rauque :
-C’est pour la note, j’espère que vous avez l’argent ??
-C'est-à-dire que … en ce moment, j’ai eu quelques problèmes financiers et donc je ne l’ai pas encore mais combien faut-il payer ?
Il me répliqua d’une voix criarde :
-Quoi, vous n’avez pas la somme ? Je vous rappelle que vous avez signé un contrat, donc si dans les vingt-quatre heures c'est-à-dire demain vers minuit, si vous n’avez pas l’argent, vous aurez à faire à moi ! Et pour la note la voici, sur ce, à demain !
Je lui dis d’une voix triste :
-Mais, monsieur, je n’aurais jamais un tel somme, je n’ai même pas assez d’argent pour me nourrir alors comment voulez-vous que je fasse ? Et puis votre veston était ensorcelé. Je ne sais pas ce que vous voulez me faire comprendre quand vous dites :’’vous aurez à faire a moi’’ mais attention s’il arrive quoi que ce soit de bizarre, j’appelle la police !>>.
Il s’avança vers la porte sans me répondre, l’ouvrit, sortit et la claqua très violemment. J’essayai de le rattraper mais il avait disparu. Alors, je réfléchis ou j’avais mis la note et quand j’eus trouvé celle-ci, je me demandai comment avoir 166,6 euros en un jour. Mon horloge indiquait 01 :45 et je n’avais toujours pas trouvé d’idée, alors je décidai d’aller me coucher en espérant que la nuit me porterait conseil. Le lendemain, très tôt dans la matinée, je feuilletai les journaux pour trouver un job