The cult of the faceless boss
Ce texte extrait du journal Britannique « The Economist » date du 14 Novembre 2009.
Il y est question des différents types de chefs d’entreprises qui existent. Mais aussi de leur façon de gérer leurs employés, leur entreprise et leur statut personnel.
En effet, l’auteur distingue deux catégories différentes à savoir, ceux qu’il appelle les « sans visages » et ceux, qui au contraire, sont hautement médiatisés.
Il explique que les dirigeants de celles-ci n’ont pas tous la même manière de gérer leurs business. Certains sont très humbles, proches de leurs employés, n’abusent pas de leurs avantages et font des concessions. Alors que d’autres apprécient de se montrer et d’être vus lors de cocktails et diners, même si c’est pour ensuite abuser du système leur ayant permis de briller.
C’est cette différence que l’auteur décrit dans cet article ainsi que les conséquences que cela peut avoir.
Il souligne également le fait que ces hommes ont permis une évolution et un changement de par leurs personnalités.
PARTIE 2 :
The way a boss treats his employee will have repercussions on his work. As a matter of facts, one “well treated” employee, will probably do a better job, since he’ll appreciate doing it, and it will give him satisfaction to satisfy his boss. That’s the reason why a boss has to be strict but tolerant. Nice, but not too weak. He has to know where to put boundaries so he can be appreciated and respected at the same time. An Employee should not be your friend, even if sometimes it happens. But he can’t be your enemy either.
A good boss would be able to explain something without shouting at his employee, and let him do a job by himself, he should be able to hand down from time to time.
His or her personality is really important because it will affect his relationship with the employee.
Some personalities are incompatible, in the sense that they just can’t match. So a good director should be capable to make it easier so the communication can be