Théorie de croissance
La Théorie de la Croissance
SOMMAIRE
Chapitre I : Dépenses publiques et croissance
économique Chapitre II : Financement monétaire, dette publique et croissance
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La Théorie de la Croissance
La rigueur budgétaire et croissance économique : l’équilibre budgétaire. En matière de croissance 2 écoles : Une qui soutient la nécessité d’un équilibre budgétaire pour garantir une croissance saine Une qui suppose qu’un déficit budgétaire maitrisé dont les dépenses sont affectés à des choix éco ciblés, peut contribuer à stimuler la croissance surtout en période de sous-activité économique et de chômage.
La nouvelle économie de la croissance soutient que les décisions des agents privés ne peuvent pas assurer le bien être social. Mais les dépenses publiques sont nécessaires pour garantir les conditions d’une croissance auto-entretenue. Cette valorisation de l’action pub le principe de (moins d’état). Dans cette problématique de la croissance, la prise en compte de la nature des dépenses de l’Etat implique un dépassement de la vision globale du déficit public comme instrument générateur d’effet négatif. En même temps, elle conduit à mettre en doute, l’efficacité des politiques de la rigueur (Equilibre budgétaire), en termes de croissance et d’emploi.
CH I : DEPENSES PUBLIQUES ET CROISSANCE ECONOMIQUE
Depuis le milieu des années 80, l’économie de la croissance a donné lieu à une littérature importante dont l’objectif est d’identifier les facteurs de croissance en partant du comportement des agents privés. Parmi ces facteurs figurent (4) : L’investissement dans le capital humain Les dépenses dans l’innovation technologique La recherche et développement Les investissements dans les infrastructures.
Malgré l’insuffisance, L’ensemble des analyses mettent en avant la nécessité des interventions publiques qu’elles justifient par le fait : que le