Titreplusdescriptif !
Nous allons donc répondre a la question qui est « En quoi ces trois textes mettent en œuvre une stratégie argumentative différente. »
L’extrait le dernier jour d un condamné fait plus appel aux sentiments qu’à la raison. Nous partageons en tant que lecteur le désespoir d’un condamné à mort enfermé en prison. La présence de la petite fille du condamné renforce l’aspect affectif du texte. Le lecteur est d’autant plus sensibilisé, « ton père qui t’aimait tant »l 11. Les nombreuses marques de subjectivité « je serai », l 2 « me tuer »l 9, accentuent cette impression de fait vécu avec une suggestion de l’horreur poussée à son paroxysme: « quelque chose d’immonde », « une tête », « un tronc ». Cela permet une certaine généralisation concernant la question de la peine de mort. Cet extrait fait appel aux sentiments du lecteur. Il est rendu encore plus touchant grâce à l’apostrophe à la « petite fille »l 2 et aux interjections « O », « oh » l 1 et 21. Il fait aussi appel au passé, avec des moment passé avec sa fille « marie »l 9 « Pauvre petite … prier dieu » l 11 a 15 puis au paragraphe suivant il expose sa fille dans le future « Qui est ce qui … boire et de manger « l 16 a 20 il y a aussi présence du champ lexical des sentiments : « pauvre petite ! » L 11 qui est ce … t aimera « l 16.17 « ils auraient compris. De trois ans « l 22 « tendresse de mon cœur « l 26 La description de sa fille marie est elle aussi intense et avec des adj. qual. Tel que « parfumé » l 12 « boucles de tes cheveux comme sur de la soie « l 13 « tes deux petites mains « l 14 tout ces termes nous font ressentir un amour très important d un père pour sa fille se qui nous fait bien éprouver de la compassion et que donc Victor Hugo essaye d